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En recueillement à Buffalo,

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Le président américain et son épouse, Jill Biden, se sont rendus mardi à Buffalo, dans l'État de New York, où acte terroriste à motivation raciste a coûté la vie à dix personnes afro-américaines samedi. Joe Biden a notamment déclaré que la tuerie de Buffalo était un acte de "terrorisme" et a dénoncé le "poison" de la théorie du suprémacisme blanc. 

Une brassée de fleurs blanches et un signe de croix : le couple présidentiel, Jill et Joe Biden, s'est recueilli mardi 17 mai à Buffalo, où dix personnes afro-américaines ont péri samedi, victimes d'un attentat raciste.

Peu après leur arrivée dans cette ville du nord-est des États-Unis, le président américain et son épouse se sont rendus près du supermarché Tops, où a eu lieu l'un des pires massacres racistes de l'histoire récente aux États-Unis. Sous un soleil éblouissant, ils se sont avancés vers des bouquets, des mots et des bougies amassés au pied d'un arbre, dans un silence troublé seulement par le souffle du vent et le cliquetis des appareils photo. Jill Biden a déposé une brassée de fleurs blanches. Joe Biden, après avoir retiré ses lunettes de soleil, s'est signé.

Joe Biden a dénoncé avec véhémence le "poison" du suprémacisme blanc et ceux qui contribuent à le répandre. Dans cette ville de l'état de New York, où un jeune homme adepte de théories complotistes telles que celle du "grand remplacement" a commis un massacre au fusil d'assaut, le président américain a parlé d'un acte de "terrorisme".

Évoquant cette thèse raciste du "grand remplacement", Joe Biden, très ému, très solennel, a asséné : "J'appelle tous les Américains à rejeter ce mensonge et je condamne tous ceux qui le répandent pour gagner du pouvoir, des voix, de l'argent".

"Ceux qui prétendent aimer l'Amérique ont donné trop de combustible à la haine et à la peur", a encore lancé le démocrate, sans toutefois mentionner de noms ou d'affiliation partisane. "Ce venin, cette violence ne peuvent pas être l'histoire de notre époque", a-t-il plaidé, alors que les États-Unis ont connu ces dernières années plusieurs tueries visant des Afro-Américains, des Juifs, des personnes d'origine latino-américaine.

Le couple présidentiel a prévu de rencontrer des familles de victimes, des membres des équipes de secours et des responsables locaux, avant que le président ne prononce un discours, à 17 h GMT.

Plus de 200 "fusillades de masse" aux États-Unis depuis le début de l'année

Le démocrate âgé de 79 ans veut désigner le massacre "pour ce qu'il est : du terrorisme motivé par une idéologie haineuse et perverse, une idéologie qui déchire l'âme de notre pays", selon un responsable de la Maison Blanche.

La tuerie de Buffalo rappelle cruellement que Joe Biden, élu sur un message d'unité, n'a pas réussi jusqu'ici à apaiser une Amérique minée par la haine raciale et la violence par armes à feu.

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Le président américain et son épouse, Jill Biden, se sont rendus mardi à Buffalo, dans l'État de New York, où acte terroriste à motivation raciste a coûté la vie à dix personnes afro-américaines samedi. Joe Biden a notamment déclaré que la tuerie de Buffalo était un acte de "terrorisme" et a dénoncé le "poison" de la théorie du suprémacisme blanc. 

Une brassée de fleurs blanches et un signe de croix : le couple présidentiel, Jill et Joe Biden, s'est recueilli mardi 17 mai à Buffalo, où dix personnes afro-américaines ont péri samedi, victimes d'un attentat raciste.

Peu après leur arrivée dans cette ville du nord-est des États-Unis, le président américain et son épouse se sont rendus près du supermarché Tops, où a eu lieu l'un des pires massacres racistes de l'histoire récente aux États-Unis. Sous un soleil éblouissant, ils se sont avancés vers des bouquets, des mots et des bougies amassés au pied d'un arbre, dans un silence troublé seulement par le souffle du vent et le cliquetis des appareils photo. Jill Biden a déposé une brassée de fleurs blanches. Joe Biden, après avoir retiré ses lunettes de soleil, s'est signé.

Joe Biden a dénoncé avec véhémence le "poison" du suprémacisme blanc et ceux qui contribuent à le répandre. Dans cette ville de l'état de New York, où un jeune homme adepte de théories complotistes telles que celle du "grand remplacement" a commis un massacre au fusil d'assaut, le président américain a parlé d'un acte de "terrorisme".

Évoquant cette thèse raciste du "grand remplacement", Joe Biden, très ému, très solennel, a asséné : "J'appelle tous les Américains à rejeter ce mensonge et je condamne tous ceux qui le répandent pour gagner du pouvoir, des voix, de l'argent".

"Ceux qui prétendent aimer l'Amérique ont donné trop de combustible à la haine et à la peur", a encore lancé le démocrate, sans toutefois mentionner de noms ou d'affiliation partisane. "Ce venin, cette violence ne peuvent pas être l'histoire de notre époque", a-t-il plaidé, alors que les États-Unis ont connu ces dernières années plusieurs tueries visant des Afro-Américains, des Juifs, des personnes d'origine latino-américaine.

Le couple présidentiel a prévu de rencontrer des familles de victimes, des membres des équipes de secours et des responsables locaux, avant que le président ne prononce un discours, à 17 h GMT.

Plus de 200 "fusillades de masse" aux États-Unis depuis le début de l'année

Le démocrate âgé de 79 ans veut désigner le massacre "pour ce qu'il est : du terrorisme motivé par une idéologie haineuse et perverse, une idéologie qui déchire l'âme de notre pays", selon un responsable de la Maison Blanche.

La tuerie de Buffalo rappelle cruellement que Joe Biden, élu sur un message d'unité, n'a pas réussi jusqu'ici à apaiser une Amérique minée par la haine raciale et la violence par armes à feu.

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