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Guerre en Ukraine: ce qu'il faut retenir

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Jusqu'à présent, le Pentagone s'était abstenu de commenter l'origine du naufrage du "Moskva", navire amiral russe sur la mer Noire qui a coulé lors de son remorquage jeudi soir. Vendredi 15 avril, un haut responsable du Pentagone a finalement brisé le silence, simplifié la version avancée par Kiev. "Nous estimons qu'ils l'ont touché avec deux Neptune", deux missiles ukrainiens, at-il déclaré à quelques journalistes. Une version qui va à l'encontre de celle avancée par Moscou, qui affirme que son navire amiral a été "gravement endommagé" par un incendie. On ne connaît pas toujours le nombre de victimes que cette attaque a améliorée. Franceinfo fait le point sur ce qu'il faut retenir de cette journée.

Kiev à nouveau menacée

Est-ce en représailles à l'attaque du "Moskva" que les forces intensifient leurs frappes sur Kiev ? Pour l'heure, il est difficile de savoir. La Russie a annoncé avoir détruit une usine d'armement, qui fabrique des missiles Neptune en banlieue de Kiev. Elle a également assuré que les frappes sur la capitale ukrainienne allaient être intensifiées. Officiellement, c'est pour répondre aux "attaques" sur le territoire russe, dont elle accuse l'Ukraine.

Zelensky souligne le risque nucléaire russe

Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que "le monde entier" devait être "inquiet" du risque ukrainien que son homologue russe Vladimir Poutine, accusé par ses revers militaires en Ukraine, ait recours à une arme nucléaire tactique. Et il n'est pas le seul. Jeudi, le patron du renseignement extérieur américain, William Burns, a montré qu'il ne fallait pas "prendre à la légère la menace que représente le recours potentiel à des armes nucléaires tactiques" ou "de faible puissance" par le président russe s' il devait "sombrer dans le désespoir" face aux échecs de son armée.


De nouvelles victimes à Kharkiv

Un nouveau bilan fait état d'au moins dix morts et 35 blessés dans des bombardements russes sur un quartier d'habitation à Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine, a annoncé le gouverneur régional. Un premier bilan dans la matinée fait état de la mort de "sept personnes, dont un nourrisson de sept mois".


Côté russe, le porte-parole du ministère de la Défense a affirmé que l'artillerie russe avait provoqué la mort d'une trentaine de "mercenaires polonais" dans le nord-est de l'Ukraine. Une annonce qui risque d'atténuer les tensions déjà vives entre Moscou et Varsovie.


Moscou expulse 18 représentants de l'UE

Moscou a annoncé l'expulsion de 18 diplomates de la représentation de l'Union européenne en Russie, en représailles à une mesure similaire prise par Bruxelles début avril. De son côté, l'Union européenne a jugé "injustifiée" cette expulsion, estimant qu'elle ne cause qu'"aggraver" l'isolement international de Moscou.


Une candidature de la Finlande à l'Otan "très probable" 

La Finlande rejoindra-t-elle finalement l'Otan ? Il est "très probable" que le pays scandinave dépose une candidature en ce sens, a affirmé vendredi la ministre finlandaise des Affaires européennes, Tytti Tuppurainen. Cependant, "la décision n'a pas encore été prise", a complété le ministre sur la chaîne britannique Sky News. Il faut que dire que la diplomatie russe a averti la Finlande et la Suède qu'une telle mesure aurait des conséquences pour ces pays et la sécurité européenne




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Jusqu'à présent, le Pentagone s'était abstenu de commenter l'origine du naufrage du "Moskva", navire amiral russe sur la mer Noire qui a coulé lors de son remorquage jeudi soir. Vendredi 15 avril, un haut responsable du Pentagone a finalement brisé le silence, simplifié la version avancée par Kiev. "Nous estimons qu'ils l'ont touché avec deux Neptune", deux missiles ukrainiens, at-il déclaré à quelques journalistes. Une version qui va à l'encontre de celle avancée par Moscou, qui affirme que son navire amiral a été "gravement endommagé" par un incendie. On ne connaît pas toujours le nombre de victimes que cette attaque a améliorée. Franceinfo fait le point sur ce qu'il faut retenir de cette journée.

Kiev à nouveau menacée

Est-ce en représailles à l'attaque du "Moskva" que les forces intensifient leurs frappes sur Kiev ? Pour l'heure, il est difficile de savoir. La Russie a annoncé avoir détruit une usine d'armement, qui fabrique des missiles Neptune en banlieue de Kiev. Elle a également assuré que les frappes sur la capitale ukrainienne allaient être intensifiées. Officiellement, c'est pour répondre aux "attaques" sur le territoire russe, dont elle accuse l'Ukraine.

Zelensky souligne le risque nucléaire russe

Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que "le monde entier" devait être "inquiet" du risque ukrainien que son homologue russe Vladimir Poutine, accusé par ses revers militaires en Ukraine, ait recours à une arme nucléaire tactique. Et il n'est pas le seul. Jeudi, le patron du renseignement extérieur américain, William Burns, a montré qu'il ne fallait pas "prendre à la légère la menace que représente le recours potentiel à des armes nucléaires tactiques" ou "de faible puissance" par le président russe s' il devait "sombrer dans le désespoir" face aux échecs de son armée.


De nouvelles victimes à Kharkiv

Un nouveau bilan fait état d'au moins dix morts et 35 blessés dans des bombardements russes sur un quartier d'habitation à Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine, a annoncé le gouverneur régional. Un premier bilan dans la matinée fait état de la mort de "sept personnes, dont un nourrisson de sept mois".


Côté russe, le porte-parole du ministère de la Défense a affirmé que l'artillerie russe avait provoqué la mort d'une trentaine de "mercenaires polonais" dans le nord-est de l'Ukraine. Une annonce qui risque d'atténuer les tensions déjà vives entre Moscou et Varsovie.


Moscou expulse 18 représentants de l'UE

Moscou a annoncé l'expulsion de 18 diplomates de la représentation de l'Union européenne en Russie, en représailles à une mesure similaire prise par Bruxelles début avril. De son côté, l'Union européenne a jugé "injustifiée" cette expulsion, estimant qu'elle ne cause qu'"aggraver" l'isolement international de Moscou.


Une candidature de la Finlande à l'Otan "très probable" 

La Finlande rejoindra-t-elle finalement l'Otan ? Il est "très probable" que le pays scandinave dépose une candidature en ce sens, a affirmé vendredi la ministre finlandaise des Affaires européennes, Tytti Tuppurainen. Cependant, "la décision n'a pas encore été prise", a complété le ministre sur la chaîne britannique Sky News. Il faut que dire que la diplomatie russe a averti la Finlande et la Suède qu'une telle mesure aurait des conséquences pour ces pays et la sécurité européenne




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