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Que sont devenus les étudiants africains

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Voici, un an maintainer que la Russie a envahi l_Ukraine, déclenchant ainsi une guerre qui a provoququé des millions de de de éplacéplaces, dont des étudiadiadians africans. BBBC Afrique a الاتصال يؤكد d R entre eux.


Pour s s abriter des bombs et éviter détre prise entre le feu des soldats ukrainiens et cex rusrusrusses, les étudiadianites africains ont franchire les frontières ukrainiennes non-sancertaines difficults.


S.L.ont pu échapper‏lenfer de la guerre, la situation resate pour beaucoup dentre eux.


J.ai perdu mon futur, déclare cet étudiadiate de nationalité congolaise au bout du filfilfile. . () cause de la guerre, il a de arrests en cyberbercriminalié quil devait terminer cette anne.

Il voit son rêve de rentrer dans son pays, diplôme dans ses cartables, s’évaporer de jour en jour.


« J'avais de l'espoir quand j’étais en Ukraine. Quand je faisais mes études, je savais qu’un jour, je finirai par obtenir mon diplôme et trouver un travail qui pourra m'aider », affirme-t-il à la BBC, dépité de ne plus pouvoir poursuivre ses études.


L'Ukraine abritait plus de 76 000 étudiants étrangers, selon les données gouvernementales de 2020.


Près d'un quart des étudiants venaient d'Afrique, le plus grand nombre venant du Nigéria, du Maroc et d'Égypte.


Après son départ de l’Ukraine, il a fini par déposer ses bagages en Suisse, espérant pouvoir y poursuivre ses études supérieures. Un espoir qui sera brisé par une demande d’asile rejetée et une non-obtention du permis de séjour. Il décide finalement de quitter le pays sans vouloir révéler le pays dans lequel il vit actuellement.

Incertitude et menace d’explusion

Ce Congolais n’est pas le seul étudiant à vivre dans l’incertitude.


Gilbert Njiki a pour sa part pu obtenir l’autorisation de poursuivre ses études. Après avoir sillonné la Hongrie, l’Autriche et l’Allemagne, il décide lui aussi de s’installer en Suisse. Tout comme l’étudiant congolais, il est également sous le coup d’une menace d’expulsion.


« Actuellement, je suis dans la situation qu'ils appellent ‘l'indulgence’, ça veut dire, que vous ne bénéficiez plus entièrement de l'assistance financière. Et vous devez vous présenter chaque semaine auprès des autorités et à tout moment, vous pouvez être forcé à retourner dans votre pays », affirme Gilbert Njiki.

Mais, pour Gilbert Njiki, il est hors de question de rentrer dans son Cameroun natal sans avoir obtenu au préalable les diplômes qui sanctionnent les études qu’il a déjà entamées.


Malgré l’angoisse qu’il vit, Gilbert peut compter sur le soutien Etonam Ahianyo et de son association, Save-Africans Ukraine. Cette dernière, basée en Suisse, affirme venir « en aide aux Africains et autres ressortissants non-ukrainiens fuyant la guerre et défend leurs intérêts partout en Europe. »


Double traumatisme

Selon Etonam Ahianyo, les étudiants africains sont affectés par ce qu’il considère comme un double traumatisme : celui de la guerre et celui de se faire rejeter par leur pays d’accueil tandis que leurs camarades ukrainiens sont facilement acceptés.


L'Union européenne avait décidé le quatre mars 2022 d'offrir une protection temporaire aux réfugiés fuyant l'Ukraine aux ressortissants des pays tiers qui jouissent d’un statut de réfugié ou de résident permanent en Ukraine.


"Les étudiants non ukrainiens sont dans un profond désarroi du fait de ne pouvoir bénéficier de conditions de séjour favorisant la poursuite de leurs études, contrairement à leurs homologues de nationalité ukrainienne", déclarent Save Africans-Ukraine(SA-U), Droit de Rester Neuchâtel (DdR) et Solidarité sans frontières (Sosf), trois organisations suisses

 Cette décision a exclu d'office les ressortissants d'États tiers, dont de nombreux étudiants au départ », se plaint Etonam Ahianyo. « Aujourd'hui, cette décision, elle n'a pas changé », martèle-t-il.


« Il faut que l'Europe dise clairement qu’elle accepte les étudiants d'États tiers et leur donne la possibilité de terminer leurs études », affirme Etonam Ahianyo dont l’association continue de soutenir les étudiants.


En Suisse, pays dans lequel évolue son association, « l’un des moyens pour les étudiants d’obtenir un permis de séjour est d'avoir une admission dans une université, et de justifier de moyens financiers pour subvenir à leurs besoins », explique M. Ahianyo . Cette dernière mesure constitue le principal obstacle à leur procédure.

Lueur d’espoir

Joëlle Temagna, quant à elle, a eu un peu plus de chance que ses autres camarades étudiants. Cette jeune camerounaise a dû fuir l’Ukraine avec un bébé de deux mois dans les bras. C’est d’ailleurs son statut de jeune maman qui lui a permis de franchir la frontière ukrainienne en une demi-journée tandis que d’autres africains y ont passé plusieurs jours.


Avec son bébé, elle franchit la frontière polonaise et contacte Merlin Tchindé. Ce dernier loue un bus à ses frais pour venir chercher les Africains qui ont pu franchir la frontière. Après avoir passé une semaine chez Merlin Tchindé à Varsovie en Pologne, elle prend congé et s’installe finalement en Belgique.


Elle est d’abord hébergée par un couple belge avant de trouver un logement temporaire où elle vit actuellement avec son fils.

son fils dans un logement temporaire.


Joëlle Temagna compte reprendre ses études afin d’obtenir son diplôme d’infirmière.


« J'ai déposé pour l'équivalence parce qu'il faut une équivalence pour continuer. En attendant, je fais des cours de néerlandais, » dit-elle à la BBC.


« C'était difficile au départ, ma famille a même voulu que je rentre [au pays], mais, vu que ma situation s'est améliorée elle m'encourage à persévérer et à faire ce que j'avais voulu faire depuis le départ », ajoute-t-elle.

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Voici, un an maintainer que la Russie a envahi l_Ukraine, déclenchant ainsi une guerre qui a provoququé des millions de de de éplacéplaces, dont des étudiadiadians africans. BBBC Afrique a الاتصال يؤكد d R entre eux.


Pour s s abriter des bombs et éviter détre prise entre le feu des soldats ukrainiens et cex rusrusrusses, les étudiadianites africains ont franchire les frontières ukrainiennes non-sancertaines difficults.


S.L.ont pu échapper‏lenfer de la guerre, la situation resate pour beaucoup dentre eux.


J.ai perdu mon futur, déclare cet étudiadiate de nationalité congolaise au bout du filfilfile. . () cause de la guerre, il a de arrests en cyberbercriminalié quil devait terminer cette anne.

Il voit son rêve de rentrer dans son pays, diplôme dans ses cartables, s’évaporer de jour en jour.


« J'avais de l'espoir quand j’étais en Ukraine. Quand je faisais mes études, je savais qu’un jour, je finirai par obtenir mon diplôme et trouver un travail qui pourra m'aider », affirme-t-il à la BBC, dépité de ne plus pouvoir poursuivre ses études.


L'Ukraine abritait plus de 76 000 étudiants étrangers, selon les données gouvernementales de 2020.


Près d'un quart des étudiants venaient d'Afrique, le plus grand nombre venant du Nigéria, du Maroc et d'Égypte.


Après son départ de l’Ukraine, il a fini par déposer ses bagages en Suisse, espérant pouvoir y poursuivre ses études supérieures. Un espoir qui sera brisé par une demande d’asile rejetée et une non-obtention du permis de séjour. Il décide finalement de quitter le pays sans vouloir révéler le pays dans lequel il vit actuellement.

Incertitude et menace d’explusion

Ce Congolais n’est pas le seul étudiant à vivre dans l’incertitude.


Gilbert Njiki a pour sa part pu obtenir l’autorisation de poursuivre ses études. Après avoir sillonné la Hongrie, l’Autriche et l’Allemagne, il décide lui aussi de s’installer en Suisse. Tout comme l’étudiant congolais, il est également sous le coup d’une menace d’expulsion.


« Actuellement, je suis dans la situation qu'ils appellent ‘l'indulgence’, ça veut dire, que vous ne bénéficiez plus entièrement de l'assistance financière. Et vous devez vous présenter chaque semaine auprès des autorités et à tout moment, vous pouvez être forcé à retourner dans votre pays », affirme Gilbert Njiki.

Mais, pour Gilbert Njiki, il est hors de question de rentrer dans son Cameroun natal sans avoir obtenu au préalable les diplômes qui sanctionnent les études qu’il a déjà entamées.


Malgré l’angoisse qu’il vit, Gilbert peut compter sur le soutien Etonam Ahianyo et de son association, Save-Africans Ukraine. Cette dernière, basée en Suisse, affirme venir « en aide aux Africains et autres ressortissants non-ukrainiens fuyant la guerre et défend leurs intérêts partout en Europe. »


Double traumatisme

Selon Etonam Ahianyo, les étudiants africains sont affectés par ce qu’il considère comme un double traumatisme : celui de la guerre et celui de se faire rejeter par leur pays d’accueil tandis que leurs camarades ukrainiens sont facilement acceptés.


L'Union européenne avait décidé le quatre mars 2022 d'offrir une protection temporaire aux réfugiés fuyant l'Ukraine aux ressortissants des pays tiers qui jouissent d’un statut de réfugié ou de résident permanent en Ukraine.


"Les étudiants non ukrainiens sont dans un profond désarroi du fait de ne pouvoir bénéficier de conditions de séjour favorisant la poursuite de leurs études, contrairement à leurs homologues de nationalité ukrainienne", déclarent Save Africans-Ukraine(SA-U), Droit de Rester Neuchâtel (DdR) et Solidarité sans frontières (Sosf), trois organisations suisses

 Cette décision a exclu d'office les ressortissants d'États tiers, dont de nombreux étudiants au départ », se plaint Etonam Ahianyo. « Aujourd'hui, cette décision, elle n'a pas changé », martèle-t-il.


« Il faut que l'Europe dise clairement qu’elle accepte les étudiants d'États tiers et leur donne la possibilité de terminer leurs études », affirme Etonam Ahianyo dont l’association continue de soutenir les étudiants.


En Suisse, pays dans lequel évolue son association, « l’un des moyens pour les étudiants d’obtenir un permis de séjour est d'avoir une admission dans une université, et de justifier de moyens financiers pour subvenir à leurs besoins », explique M. Ahianyo . Cette dernière mesure constitue le principal obstacle à leur procédure.

Lueur d’espoir

Joëlle Temagna, quant à elle, a eu un peu plus de chance que ses autres camarades étudiants. Cette jeune camerounaise a dû fuir l’Ukraine avec un bébé de deux mois dans les bras. C’est d’ailleurs son statut de jeune maman qui lui a permis de franchir la frontière ukrainienne en une demi-journée tandis que d’autres africains y ont passé plusieurs jours.


Avec son bébé, elle franchit la frontière polonaise et contacte Merlin Tchindé. Ce dernier loue un bus à ses frais pour venir chercher les Africains qui ont pu franchir la frontière. Après avoir passé une semaine chez Merlin Tchindé à Varsovie en Pologne, elle prend congé et s’installe finalement en Belgique.


Elle est d’abord hébergée par un couple belge avant de trouver un logement temporaire où elle vit actuellement avec son fils.

son fils dans un logement temporaire.


Joëlle Temagna compte reprendre ses études afin d’obtenir son diplôme d’infirmière.


« J'ai déposé pour l'équivalence parce qu'il faut une équivalence pour continuer. En attendant, je fais des cours de néerlandais, » dit-elle à la BBC.


« C'était difficile au départ, ma famille a même voulu que je rentre [au pays], mais, vu que ma situation s'est améliorée elle m'encourage à persévérer et à faire ce que j'avais voulu faire depuis le départ », ajoute-t-elle.

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