Stefanos Tsitsipas s'y attendait mais il est quand même tombé dans le piège de Nick Kyrgios qui a transformé le court N.1 du vénérable club de Wimbledon en arène de combats de coqs pour simposer samedi au 3e tour.
"Il était frustré, mais le tennis est un sport de frustrations et quoi qu'il se passe sur le court, je l'aime", a assuré Kyrgios juste après avoir échangé une furtive poignée de main avec son adversaire battu 6-7 (2/7), 6-4, 6-3, 7-6 (9/7).
Durant 3h17, les deux hommes se sont affrontés à balles réelles, sous les sifflets, les encouragements, les cris d'un public sorti de ses gonds.
"C'était un match de dingue, dans une ambiance extraordinaire. Je suis super heureux d'être passé, c'était un match de dingue...", a commenté l'Australien de 27 ans.
Si le match a été fou, Kyrgios n'y est pas pour rien. Il a tout fait pour faire dégoupiller son adversaire, rendre chèvre l'arbitre et hystériser le public. Jusqu'au point d'ébullition générale où, seul, il a retrouvé son sang froid pour prodiguer ses coups géniaux.
Durant 3h17, les deux hommes se sont affrontés à balles réelles, sous les sifflets, les encouragements, les cris d'un public sorti de ses gonds.
"C'était un match de dingue, dans une ambiance extraordinaire. Je suis super heureux d'être passé, c'était un match de dingue...", a commenté l'Australien de 27 ans.
Si le match a été fou, Kyrgios n'y est pas pour rien. Il a tout fait pour faire dégoupiller son adversaire, rendre chèvre l'arbitre et hystériser le public. Jusqu'au point d'ébullition générale où, seul, il a retrouvé son sang froid pour prodiguer ses coups géniaux.